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COIN LECTURE
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● Le contact a déjà lieu et opère dans un univers de forme
Ces
«
Autres
extra-intra-terrestres
»
ne
possédant
pas
tout
à
fait
notre
corps
de
chair,
ne
sont
donc
pas
seulement
les
petits
hommes
verts
du
cinéma
ou
de
la
littérature,
ce
ne
sont
pas
uniquement
les
visiteurs
arrivant
des
confins
d’une
autre
galaxie
par
une
porte
des
étoiles...
Ce
sont
TOUTES
ces
présences
avec
lesquelles
nous
vivons
en
situation
de
Coprésence
[Ed
le
Temps
Présent,
2015].
Comment
savons-nous
qu’elles
sont
là
?
Nous
prenons
conscience
de
leurs
présences
par
différents
moyens
:
il
y
a
le
moyen
sensoriel
(apparition,
sensation
physique
mobilisant
un
ou
plusieurs
sens)
ou
bien
extrasensoriel
(vision,
rêves,
contact
télépathique,
clair-audience,
clair-ressenti,
etc.).
Il
y
a
également
les
moyens
techniques
(vidéo,
audio,
photo,
radar,
etc.)
permettant
d’en
capter
quelques
traces
évanescentes,
et
c’est
ce
que
j’expérimente
depuis
des
années, notamment par ce qu’on appelle la Transcommunication Instrumentale audio et vidéo (TCI).
On
commence
donc
à
comprendre
que
parler
d’extraterrestres
n’est
pas
aussi
simple
qu’il
y
paraît,
parce
que
derrière
ce
mot
banalisé
se
cachent
une
multiplicité
de
présences
qu’il
peut-être
difficile
de
distinguer.
S’il
est
difficile
de
les
distinguer,
c’est
parce
que
nous
entrons
possiblement
dans
un
«
univers
de
forme
»
.
Cette
expression
me
fut
donnée
par
un
célèbre
interprète
animalier,
Jean-Luc
Janiszewski,
avec
qui
je
travaillais
à
l’occasion
de
la
rédaction
de
mon
ouvrage
La
Conscience
Animale
[Ed
le
Temps
Présent,
2017].
Ce
dernier
m’explique
(avec
d’autres,
car
il
n’est
pas
le
seul
à
m’avoir
rapporté
ce
témoignage)
qu’il
collabore
avec
des
êtres
n’appartenant
pas
à
ce
plan
terrestre
physique,
l’aidant
entre
autres
dans
le
cadre
de
sa
profession
animalière
;
appelons-les
guides
ou
de
toute
autre
façon,
ceci
importe
peu,
mais
notons
au
passage
que
l’aide
des
«
Autres
»
n’est
pas
l’apanage
des
humains,
puisque
les
animaux
en
bénéficient
également.
Jean-Luc
Janiszewski
m’explique
que
l’un
de
ses
guides
est
capable
d’apparaître
devant
lui
sous
une
forme
ou
une
autre,
par
exemple
avec
des
ailes
lorsqu’il
est
face
à
un
croyant,
sous
une
forme
animale
si
besoin,
etc.
Cet
«
être-Autre
»
est
donc
en
mesure
de
prendre
la
forme
la
plus
adaptée
à
la
psychologie
d’un
être
humain,
tout
simplement
parce
que
la
forme
n’a
plus
d’importance
dans
son
monde : c’est cela un univers de forme.
Concrètement,
cela
veut
dire
que
certains
«
Autres
»
peuvent
prendre
la
forme
d’un
humain,
d’un
animal,
d’un
humanoïde,
d’un
être
galactique
et
pourquoi
pas
d’un
vaisseau,
du
moins
projeter
de
telles
images
dans
la
psyché
ou
la
conscience
collective,
en
fonction
des
situations.
Voici
qui
ne
remet
aucunement
en
question
l’existence
proprement
dite
de
l’extraterrestre,
bien
au
contraire,
mais
qui
repositionne
radicalement
l’idée
simple,
voire
simpliste,
que
nous
nous
en
faisons
!
Voilà
également
à
quoi
sert
le
regard
surplombant
de
la
sociologie
:
à
faire
des
ponts
entre
des
domaines
que
nous
avons
pris
l’habitude
de
distinguer
à
juste
titre,
mais
aussi
à
tort
parfois.
Ainsi,
par-delà
les
différences
évidentes
qui
distinguent
les
ufologues,
les
divers
expérimentateurs
des
domaines
du
paranormal
ou
encore
les
passionnés
d’Anges
ou
Devas...
tous
ont
en
commun
cette
envie
de
rencontrer
«
l’Autre
extraterrestre
»,
étranger
à
notre
physicalité,
et
que
l’on
peut
frôler
à
l’occasion
de
circonstances
favorables
ou
d’expérimentations
volontaires.
En
chacune
de
ces
disciplines
se
joue
donc
un même appel collectif vers le contact et un besoin d’extension de soi-même, mais à partir de scénarios et de méthodes différentes.
Pour
cette
raison
précise,
je
crois
que
le
contact
a
déjà
lieu
depuis
longtemps.
Ce
qui
est
aujourd’hui
en
jeu,
c’est
la
matérialisation
et
la
preuve
de
ces
contacts
divers
et
variés.
Cette
matérialisation
est
attendue,
elle
est
appelée
de
nos
vœux
par
notre
monde
se
nourrissant
de
faits.
Ces
faits
émergent
grâce
à
une
technologie
de
plus
en
plus
subtile,
permettant
à
l’occasion
de
capter
la
trace
d’un
«
fantôme
»,
«
d’un
vaisseau
»
ou
de
toute
autre
présence
étrange.
Mais
l’acceptation
de
tels
faits
et
traces
est
aussi
le
fruit
du
développement
de
la
conscience
individuelle
(et
collective)
via
diverses
formes
d’extrasensorialités
que
chacun
peut
apprendre
à
développer,
tel
le
Remote
Viewing
(vision
à
distance)
que
l’on
peut
acquérir
par
apprentissage.
Enfin,
la
trace
émerge
aussi
à
l’occasion
de
surprenantes
découvertes,
comme
celle
des
momies
tridactyles
de
Nazca
au
Pérou
que
la
rumeur
dit
douteuse,
tandis
qu’une
équipe
de
scientifiques
chevronnés
(médecins,
anatomistes, radiologues, généticiens)
rapporte régulièrement des faits allant dans le sens contraire de la rumeur.
Envisager
le
contact
«
humain-extraterrestre
»
consiste,
d’une
part,
à
cesser
de
croire
que
le
petit
bonhomme
vert
venu
de
Mars
ou
celui
passé
par
la
«
stargate
»
est
la
meilleure
représentation
de
l’
«
Autre-extraterrestre
».
D’autre
part,
à
faire
ce
que
nous
pouvons
afin
que
les
traces
et
faits
récoltés
soient
validés
par
les
sciences
exactes,
sociales
et
humaines.
Car,
en
cas
de
validation,
des
résolutions
institutionnelles devraient être prises.