territoriale
du
commercial
type
impliqué
dans
une
écoute
active
(ici
radar,
télescope,
etc.)
et
un
échange
de
mots
(hiéroglyphe,
géoglyphe,
symbole,
etc.)
comme
interfaces
du
lien.
Par
contre,
il
est
plus
rare
que
nous
nous
demandions
si
le
point
de
vue
a-matériel,
intérieur,
celui
de
la pure conscience, voire de la fréquence de conscience, puisse ouvrir la voie vers cette quête de contact.
La
question
que
tout
bon
commercial
doit
se
poser
face
à
un
échec,
n’est-il
pas
:
pourquoi
ne
puis-je
finaliser
ma
vente
?
Que
dois-je
changer
dans
ma
façon
d’approcher
l’Autre
?
Mon
écoute
active
ne
pourrait-elle
être
modifiée,
améliorée,
complétée
?
L’écoute
active
appelle
plusieurs
façons d’aller vers l’intelligence extérieure. Il y a :
-
une façon technologique d’aller vers eux ailleurs (télescopes, sondes, etc)
-
une façon scientifique de les suivre ici sur Terre (analyses de traces et stats)
-
une façon archéologique de remonter jusqu’à eux (sur sites anciens)
-
une façon sémantique de les comprendre (codification, décryptages divers)
-
une façon psychosociologique d’en parler (témoignages humains)
Le
chemin
de
notre
quête
du
contact
envers
l’
ET
est
ainsi
guidé
par
cinq
petits
cailloux
reposant
sur
les
présupposés
de
la
matière,
de
la
forme,
du
temps
et
de
la
logique
mentale.
Notons
que
ceux-ci
ne
sont
pas
représentatifs
de
ce
que
nous
sommes
dans
notre
entièreté,
je
veux
dire
dans
la
part
sensible
et
intérieure
de
notre
être
à
la
fois
incarné,
mais
possédant
aussi
ce
que
certains
nommeront
âme
et
les
autres
esprit.
Ces
cailloux
ne
sont
qu’une
panoplie
d’outils
censés
nous
conduire
(en
terme
de
savoir)
vers
un
E.T.
se
présentant
à
nous
dans
une
physicalité
et
dont
on
peut
avoir
une
certaine
traçabilité.
Pourquoi
pas
!
Mais
n’oublions
pas
que
nous
ignorons
si
l’E.T.
en
question
entre
dans
nos
critères
de
physicalité
et
de
traçabilité,
disons
même
qu’il
devient
de
plus
en
plus
évident
qu’il
n’y
entre
pas
toujours,
et
qu’il
faut
donc
s’employer
à
poursuivre
la
quête
de
contact
en
envisageant
d’autres
stratégies,
d’autres
modes
opératoires.
Chercher
consiste
bien
sûr
à
aller
dans
la
même
direction,
sans
relâche,
avec
opiniâtreté,
jusqu’à
ce
que
quelque
chose
aboutisse,
mais
on
peut
aussi
envisager
qu’un
changement
de direction dans la façon de porter notre regard vers le supposé E.T. soit légitime et complémentaire. Le faisons-nous ? Pas vraiment.
Face
à
notre
déconvenue
due
au
fait
que
le
contact
n’a
toujours
pas
eu
lieu,
hormis
de
façon
isolée
et
personnelle,
nous
continuons
d’affûter
les
mêmes
outils
en
les
rendant
toujours
plus
en
plus
performants
et
perfectibles,
à
partir
des
mêmes
stratégies.
Ce
n’est
que
rarement
que
nous
nous
demandons
si
c’est
effectivement
en
allant
loin
dans
le
cosmos
que
nous
avons
le
plus
de
chance
de
créer
le
contact
entre
l’E.T.
et
nous,
ou
bien
si
c’est
en
cherchant
toujours
ses
traces
à
l’extérieur
en
levant
les
yeux
au
ciel
que
nous
remonterons
jusqu’à
lui.
Nous
inventons
des
sondes
et
télescopes
allant
de
plus
en
plus
loin
dans
l’immensité
du
cosmos,
nous
dépêchons
des
batteries
d’archéologues
de
plus
en
plus
érudits,
espérant
que
nos
scientifiques
valideront
biologiquement,
astronomiquement
ou
physiquement
l’hypothèse
E.T.,
enfin
nous
raccrochons
aux
témoignages
d’autres
humains
tout
aussi
extérieurs
à
nous,
mais
ayant
vécu
une
rencontre
avec
une
«
Autre
»
mystérieuse
intelligence.
Bref,
l’EXTÉRIEUR
est
presque
toujours
désigné
comme
LA
DIRECTION
à
suivre
pour
celui
qui
cherche
à
comprendre
le
pourquoi
du
comment
de
ces
vaisseaux
et
de
ces
présences
supposément
non
terrestres,
l’extérieur
est
perçu
comme
le
moyen
réaliste
pour
initier
tout
contact
avec
cet
«
Autre
»
jouant
à
cache-cache.
Pourtant,
rien
ne
dit
que
le
contact
avec
l’E.T.
ne
puisse
pas
également
s’initier
à
partir
des
profondeurs de notre (in)conscience devenant pour l’occasion un outil de contact direct, télépathique, intuitif, médiumnique.
Ainsi,
à
côté
de
l’écoute
active,
il
n’est
peut-être
pas
inutile
d’envisager
ce
que
je
propose
d’appeler
une
«
intériorité
active
»
capable
elle
aussi de jouer un rôle dans notre quête de contact avec une intelligence autre qu’humaine.
De l’écoute active à l’intériorité active
Apposer
à
côté
de
l’écoute
active
une
intériorité
active,
c’est
envisager
que
ces
rapports
que
nous
classons
puis
déclassons
depuis
des
décennies,
ces
études
de
terrain
approfondies
et
toutes
les
recherches
scientifiques
donnant
au
phénomène
ovni
des
bases
solides
indéniables…
ne
suffisent
plus
à
répondre
à
la
question
suivante
:
«
puisque
ce
phénomène
est
là,
puisqu’il
se
manifeste
de
mille
et
une
façons,
pourquoi
n’y
a-t-il
pas
de
contact
avéré
et
incontestable
?»
Au
sujet
des
freins
bloquant
ce
contact,
attendu
et
redouté
à
la
fois,
nous
échafaudons
des
d’hypothèses,
mais
ces
hypothèses
partent
généralement
de
nos
propres
codifications
comportementales,
ignorant
au
fond
si
celles-ci
ont
un
sens au regard des valeurs de ces «Autres»
intelligences.
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