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c) Le silence étourdissant des politiques À contresens de l’engouement populaire manifesté par ceux qui ont été informés de l’affaire, l’inertie des élus demeure stupéfiante, quel que soit le pays. Nous savons que certains gouvernements et institutions internationales furent informés de l’affaire, jusque dans des détails scientifiques précis qu’il leur suffisait de vérifier expérimentalement. Il leur fut donc demandé de : piste 1 : soit de confirmer l’authenticité de la découverte et son caractère exceptionnel, conformément à ce que semblent monter les analyses réalisées depuis 2 ans [en ce cas l’affaire devient de première importance et signifie que nous sommes effectivement en présence d’une espèce inconnue possiblement non terrestre.] piste 2 : soit d’infirmer ou contredire les premiers éléments scientifiques obtenus en démontrant qu’il s’agit d’un fake [en ce cas l’histoire est classée sans suite.] Qu’ont fait nos gouvernants ? Rien ! Représentons-nous autrement le scénario : le ventre de la Terre porte des corps en position fœtale possédant trois doigts aux pieds et aux mains, certains sont pourvus d’étranges implants , d’autres semblent avoir développé des maladies osseuses dont les caractéristiques sont non-reproductibles par notre savoir actuel, selon les experts. En d’autres termes, nous avons là des « choses » matérielles , des faits constituant un défi pour notre intelligence et pour la connaissance. Ceux-ci sont peut-être humains ou animaux (positionnement des détracteurs), peut-être intra ou extraterrestres puisqu’une partie majeure de leurs gènes ne sont pas référencés dans nos bases de données internationales (positionnement des partisans de l’Alien Project). Alors que le rôle de nos gouvernants devrait être d’arbitrer pour le bien de tous, de trancher, de faire le maximum pour élucider l’affaire en vérifiant les premières analyses, d’autant que les peuples se passionnent aujourd’hui pour les phénomènes ufologiques, quelles initiatives furent prises par les politiques ? Aucune ! Si le peuple notait ses hommes politiques, je pense que tout le monde s’accorderait à mettre dans la marge en rouge « peut mieux faire ». N’est-ce pas ? Selon moi, il y a un véritable là déni de grossesse, sans doute dû au caractère dérangeant de l’affaire. La seule exception timide à ce déni fut le débat organisé en décembre 2018 par le Congrès de la République du Pérou. Il est donc légitime de se demander pourquoi cette affaire (parmi d’autres en ufologie) ne mobilise ni les politiques ni les institutions. Outre le fait que le résultat pourrait déranger notre zone de confort intellectuel, j’ai repéré au moins cinq facteurs bloquant, non exhaustifs : 1er facteur bloquant - Les politiques sont pris dans l'étau des raisonnements économiques et du rendement. Ils sont, comme tout le monde le sait aujourd’hui, les objets de la pression de lobbies puissants dont ils sont devenu les courtisans. Tant qu’une découverte, quelle qu’elle soit n’entre pas dans l’intérêt des lobbies ou quelques intérêts financiers proches de l’État, rien ne bouge, rien n’est initié politiquement et sociétalement. 2e facteur bloquant – Généralement, nos élus pensent à court terme (élections locales, nationales, européennes, etc). Ils sont assez indifférents aux questionnements relevant de l'origine et du devenir, du passé lointain et du futur. Ainsi que le soulignait Nicolas Hulot à juste titre, notre ancien ministre de l’écologie, l’État moderne brille par son incapacité à penser le futur, il n’instaure pas de mécanisme capable de prendre en compte l’intérêt des générations futures, pourtant bien des témoignages ufologiques montrent que les rencontres avec d’autres intelligences sont aujourd’hui un fait. À l’identique, le thème de nos origines, celui d’éventuelles espèces ayant côtoyé ou interagi avec notre espèce humaine dans un très lointain passé, voire participé à notre évolution, ne font pas partie des sujets sur la sellette. Seule la grande Histoire, celle de nos manuels académiques, intéresse nos hommes politiques, celle-là même que nos chères têtes blondes apprennent par cœur et récitent.