Ne
soyons
pas
naïfs
au
point
de
croire
qu’il
suffit
de
comprendre
cela
pour
que
les
choses
s’arrangent
obligatoirement
sur
une
maladie
constatée.
Non,
rien
n’est
simple
et
aisé,
hormis
dans
les
mots.
Un
phénoménal
travail
intérieur
nous
attend
si
nous
voulons
comprendre
les
choses
dans
ce
domaine,
ce
travail
intérieur
convoque
un
développement
spirituel
en
aucune
façon
incompatible
avec
l’esprit
scientifique,
ainsi
que
je
l’explique
dans
mon
dernier
ouvrage
:
il
est
temps
de
se
défaire
de
l’idée
que
science
et
spiritualité
sont
des
éléments
différents
ou
opposés.
Ce
travail
à
mettre
en
oeuvre
concerne
tout
le
monde,
notamment
chaque
propriétaire
ou
gardien
aimant
son
animal,
mais
aussi
les
vétérinaires
souhaitant
sincèrement
leur
venir
en
aide.
Plus
la
conscience
collective
prendra
acte
que
de
telles
logiques
sont
à
l’œuvre
à
côté
des
lois
de
causalité
et
de
prégnance,
plus
ces
approches
se
développeront,
et
plus
les
résultats
seront
là.
Il
ne
faut
pas
sous-estimer
la
puissance
de
la
conscience
collective
dans
l’émergence
des
résultats
thérapeutiques
ou
non,
rappelons-nous
à
ce
sujet
l’effet
Maharashi
montrant
par
la
méditation
que
tout
ce
qui
vit
sur
Terre,
peut
influencer
les
événements,
un
peu
comme
si
nous
étions
co-créateurs
!
Plus
une
société
sera
prête
à
accepter
cette
logique
de
résonance
fondée
sur
un
continuum
de
conscience
entre
le
propriétaire
et
son
animal,
plus
les
résultats
vétérinaires
se
feront
sentir
en
matière
de
résultats.
Car
la
conscience
collective
a
elle
aussi
un
impact
sur
la
matière
et
sur
nos
comportements.
©
Conclusion
Proposition méthodologique
Rappelons
la
question
initiale
:
Qu’est-ce
que
la
pathologie
de
mon
animal
touche
en
moi
et
qu’est-ce
que
cela
touche
chez
lui
si
je
m’y
plonge
?
Selon
quelle
méthode
mettre
en
relief
cette
interaction?
Dans
le
prolongement
de
cette
question
posée
par
la
vétérinaire
à
l’occasion de notre entretien, ne pourrait-on commencer pas entamer un travail de recherche à partir d’un tableau croisant 2 indicateurs :
1
er
indicateur = la classification des maladies (adaptée au cas vétérinaires si besoin)
2
ème
indicateur = les 3 lois / dynamiques
Dans
le
tableau
qui
suit,
chaque
maladie
pourrait
être
rapportée
aux
trois
lois,
qui
sont
trois
clés
d’entrée
possibles
dans
le
désordre
de
santé
d’un
animal.
Ces
trois
modes
opératoires
ne
s’excluent
jamais,
mais
s’enclenchent
les
uns
aux
autres
en
fonction
des
cas.
Un
tel
tableau,
ne
pourrait-il
aider
un
propriétaire
d’animal
ou
un
stagiaire
à
saisir
les
emboîtements
ainsi
que
les
possibles
autour
d’une
même
maladie
?
Ces
possibles
n’impliquant
pas
uniquement
des
actes
thérapeutiques,
mais
des
conduites
intérieures,
ainsi
qu’un
développement
personnel
que
chacun peut expérimenter à son rythme propre.
D’un
point
de
vue
dynamique,
l’attention
du
propriétaire
s’oriente
vers
la
prise
de
conscience
qu’il
tisse
avec
son
animal
un
lien
à
la
fois
instantanée
et
résonant,
où
les
logiques
de
l’espace-temps
classique
n’ont
plus
cours.
D’une
part,
dans
cet
état
non
local,
l’éloignement
spatial
n’a
plus
aucune
importance,
d’autre
part
un
symptôme
y
apparaît
comme
une
information
cristallisant
(donc
amenant
à
la
conscience)
quelque
chose
déjà
présent
chez
(en)
lui
ou
dans
son
environnement
familier.
L’objectif
sera
pour
lui
d’identifier
l’information
ayant
produit
une
désorganisation
psychologique
ou
physiologique,
non
pas
de
cause
à
effet
ou
par
prégnance,
mais
en
résonance
avec
une
partie
de
lui-
même qu’il méconnaît ou bien sur laquelle il ne s’arrête pas suffisamment pour diverses raisons émotionnelles.
L’animal
peut
avoir
été
récepteur
d’un
problème
ne
venant
pas
directement
du
propriétaire,
mais
quel
que
soit
le
cas,
sa
résolution
repose
sur
l’aptitude
sensible
du
propriétaire
à
comprendre
que
son
animal
est
impliqué
dans
un
continuum
de
conscience
avec
ce
qui
l’entoure
;
ce
faisant,
il
comprend
que
c’est
la
même
chose
pour
lui
!
Le
processus
de
rétablissement
de
l’animal
(et
le
sien)
passe
alors,
et
dans
la
limite
du
possible
évidemment,
par
la
restructuration
et
la
réharmonisation
d’une
information
“destructrice”
résonant
possiblement
avec
une
partie
subtile
de
lui-même.
Toutefois,
si
l’animal
ne
guérit
pas,
ce
dernier
lui
a
désigné
par
l’organe
atteint
et
la
défaillance
d’un
processus
(digestion,
circulation,
contagion,
gestation,
croissance,
etc.),
le
noyau
actif
à
transformer
et
l’endroit
où
la
symétrie doit être rétablie.