Dans
le
cadre
de
cette
loi
de
résonance,
le
symptôme
d’un
animal
(et
pourquoi
pas
inversement)
délivre
une
information
sur
quelque
chose
qui
ne
concerne
pas
uniquement
lui-même,
mais
qui
vibre
avec
un
élément
autre,
non
pas
à
travers
l’espace-temps
classique
(celui
de
l’environnement
matériel
observable
par
tout
un
chacun)
,
mais
à
travers
ce
qui
pourrait
ressembler
à
un
arrêt
de
l’espace-temps,
une
absence
d’absence
temps,
peut-être
un
espace-temps
nul.
Cette
idée
d’espace-temps
discontinu
fait
écho
à
l’hypothèse
des
quanta
stipulant
que
le
mouvement
des
atomes
n’évolue
pas
continûment,
mais
par
bonds
discontinus
(paquets),
créant
ainsi
des
«
intermittences
»,
dont
certains
pensent
qu’elles
pourraient
être
des
passages
empruntés
par
la
conscience,
un
peu
comme
l’être
endormi
voyageant
la
nuit
par
d’autres
chemins
de
conscience
que
ceux
offerts
par
la
réalité
diurne
caractéristique
de la phase d’éveil.
Quoi
qu’il
en
soit,
l’irruption
du
discontinu
dans
l’espace-temps
nous
contraint
à
renoncer
définitivement
à
une
description
causale
et
déterministe
(loi
causale),
la
continuité
de
l’espace-temps
que
nous
constatons
quotidiennement
étant
une
apparence qui nous est fournie par la reconstruction du réel par notre cerveau.
©
A
partir
de
là,
il
se
peut
que
le
propriétaire
et
son
animal
échangent
de
l’information
résonante
bien
au-delà
des
mots,
des
gestes
ou
des
actions
par
ce
que
je
propose
d’appeler
ici
un
continuum
de
conscience
,
le
continuum
se
définissant
comme
un
ensemble
d'éléments
reliés
de
telle
façon
que
l'on
peut passer de l'un à l'autre
(propriétaire / animal)
de façon continue.
En
certaines
circonstances,
il
est
envisageable
que
le
propriétaire
et
son
animal
constituent
un
système
global,
où
le
symptôme
actualisé
à
un
bout
du
système
résonne
la
maladie
potentielle
à
l’autre
bout
du
système,
et
inversement.
Dans
cette
valse
subtile,
le
vétérinaire
peut
se
retrouver
devant
une
sorte
de
problématique
en
binôme
:
s’il
a
la
formation
et
la
sensibilité
appropriées,
il
pourra
alors
proposer
des
résolutions
relevant
à
la
fois
d’une
stricte
médecine
vétérinaire,
d’une
médecine
vétérinaire
alternative,
mais
aussi
se
servir
de
son
expérience
de
communication
animale
télépathique-empathique
pour mieux identifier et ressentir le facteur désorganisant : la maladie.
Toutefois,
dans
le
dernier
cas
(loi
de
résonance),
comme
nous
ne
sommes
plus
dans
une
logique
de
cause
à
effet
et
qu’il
ne
suffit
pas
de
donner
le
remède
pour
que
le
mal
se
dissipe,
l’aide
du
vétérinaire
formé
à
la
communication
animale
consistera
à
ce
que
le
propriétaire
prenne
conscience
qu’il
peut
aussi
faire
un
travail
sur
lui-même,
pour
qu’à
l’autre
bout
du
système
il
constate
des
modifications
sur
la
santé
de
son
animal.
L’acte
thérapeutique
consiste
alors,
non
seulement
à
traiter
selon
une
méthode
de
soin
classique
l’animal
en
cas
de
besoin,
mais,
surtout,
à
ce
que
le
propriétaire
prenne
acte
du
fait
qu’il
entretient
avec
son
animal
proche
un
continuum
de
conscience,
sachant
qu’un
changement
intérieur
chez
le
propriétaire
peut
induire
sur
l’animal
une
modification
équivalente,
et
ce,
quelle
que
soit la distance qui les sépare.
Cette
intrication
quantique
est
un
phénomène
étrange
où
deux
particules
élémentaires
se
lient
de
façon
inextricable
pour
de
mystérieuses
raisons
à
l’échelle
subatomique,
peut-être
cette
liaison
se
fait-elle
entre
le
propriétaire
et
l’animal
en
raison
de
l’amour
inconditionnel
qui
les
unit
parfois.
La
loi
de
résonance
rappelle
cette
intrication,
mais
à
l’échelle
d’un
être
vivant,
non
d’une
particule.
Si
deux
particules
se
comportent comme un tout différent de ce que connaît la physique classique, cette « corrélation »
animal-propriétaire
l’est tout autant.
Et si, comme le disait Einstein, nous sommes en présence d’une « action fantôme à distance », il se pourrait également que l’animal et son
gardien soient, eux aussi, capables d’une action à distance pour le meilleur et le moins bon, ce moins bon pouvant s’exprimer justement par la
maladie de l’un résonant avec l’autre, d’une façon ou d’une autre... Peut-être même de l’un pour l’autre !
source - http://www.vetopsy.fr
/histoire/statut-actuel-chien.php