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COIN LECTURE
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Il en résulte que le domaine de validité du droit terrien inter-aliène est le suivant :
Domaine
de
validité
territorial
:
l’espace
pour
lequel
valent
les
normes
de
cet
ordre
juridique.
Le
droit
inter-aliène
terrien
n’est
valable
qu’au sein de la zone de la plus Grande Terre, limité par le champ gravitationnel terrestre.
Domaine de validité temporel
: la période pendant laquelle la norme est applicable en tant que telle.
Domaine
de
validité
personnel
:
c’est-à-dire
les
individus
à
l’égard
desquels
la
norme
est
valable.
Il
convient
d’envisager
quelles
pourraient
être les grandes lignes du droit terrien inter-aliène.
(2) Jalons pour un droit terrien inter-aliène au sein de la Greater Earth
Les droits de l’homme constituent le socle de notre modernité politique et anthropologique dans la mesure où ils participent de notre idée de
l’être humain. Aussi, envisagés dans le cadre d’une relation homme-ETI, les droits de l’homme doivent être opposables aux entités aliènes.
Les droits fondamentaux humains opposables aux aliènes pourraient comprendre les droits de l’homme et certains droit assurant la
protection de notre environnement terrien étendu à la Greater Earth. Le droit terrien inter-aliène pourrait contenir les principes suivants
(dont la liste n’est pas exhaustive) divisé en deux parties respectivement relatives aux droits individuels et aux droits collectifs :
Les droits individuels :
- Le principe du droit à la vie
- Le principe de la liberté
- Le principe du droit à la reconnaissance de la personnalité juridique (aliène ou humain) et au respect de celle-ci
- Le principe du respect de la vie privée.
- Le principe de la liberté de pensée et de conscience.
- Le droit à l’évolution et le droit au refus de l’évolution
- Le droit au respect du corps humain et le principe de l’inviolabilité du corps humain
Les droits collectifs :
- Le principe de la souveraineté. Le Peuple terrien est souverain et indépendant.
- La Greater-Earth constitue le territoire, siège de la souveraineté du peuple terrien.
- Le principe de navigation pacifique au sein de la Greater Earth.
- Le principe de la primauté de la Loi Terrienne au sein de la Greater Earth
- Le principe de respect de l’identité et de l’intégrité de chaque espèce consciente
source-http://www.plus7.fr/2017/10/12/couvrir-decouvrir/le-droit-
spatial/
- Le principe de non-contamination de l’environnement terrien.
Les
ETI
peuvent
disposer
de
leur
propre
système
juridique.
Le
rapport
de
droit
présente
donc
un
élément
d’extranéité
susceptible
de
mettre
en concurrence loi terrienne et loi aliène. Dès lors, certaines hypothèses donneront lieu à des conflits de loi.
Le droit naturel de l’humanité :
L’Humanité,
en
tant
que
personne
dispose
donc
de
droits
naturels
et
imprescriptibles
parmi
lesquels
figurent
naturellement
la
vie,
la
liberté
et le patrimoine.
Le droit naturel de l’Humanité à la vie est composé tant du droit à la conservation que du droit à l’unité du genre humain.
Le
droit
de
l’Humanité
à
la
liberté
(incluant
la
liberté
de
pensée
et
de
conscience,
etc…).
La
liberté
apparaît
fondamentalement
indissociable de la responsabilité : l’Humanité sera tenue de répondre de ses actes devant les entités aliènes
Le droit au patrimoine
Les
droits
naturels
de
l’Humanité
sont,
par
essence,
opposables
à
l’ensemble
des
ETI
partageant
le
même
espace-temps
cosmique.
De
même,
les
ETI
pourront
faire
valoir
leurs
droits
naturels
propres.
De
ces
concessions
réciproques
découlera
un
droit
cosmique
positif
garantissant l’harmonie des relations entre toutes les formes de consciences peuplant le cosmos.